Rencontrez les producteurs de Lait Cœurs d'Or

Quand l’entreprise d’aménagement intérieur dans laquelle travaillait Frédéric a fermé ses portes en 2014, le jeune couple se trouve devant une alternative. Amandine, fille d’agriculteurs, a un emploi de commerciale dans les matériaux de construction, mais les perspectives d’activités dans leur région d’origine sont faibles. Ils vont alors réaliser leur rêve commun : s’installer en agriculture.
« Nous cherchions avant tout une activité pour créer du lien social, pour participer à la dynamique d’un territoire. Nous étions aussi engagés dans une démarche de qualité, de vie bien-sûr, mais aussi préoccupés par les questions d’environnement, de paysage, de mise en valeur des potentialités que pouvait nous offrir un domaine agricole. Nous voulions concilier à la fois notre activité professionnelle et nos convictions ». atteste Frédéric.
Après avoir effectué une formation qualifiante agricole (BPREA), Frédéric et Amandine contactent la Safer pour trouver une exploitation correspondant à leur recherche, une zone préservée, des grands espaces et des réelles potentialités de développement. Après de nombreuses visites dans les Cévennes, leur attention est attirée par le secteur de Mialet ou une exploitation caprine est en phase de transmission. Localement, leur projet est accueilli avec enthousiasme.
« Notre commune est partagée entre trois vallées, les terres agricoles dans les zones plates, ont progressivement été affectées à d’autres usages, le foncier fait l’objet de rétention et il faut bien le dire de spéculation. Seul l’élevage ovin ou caprin est encore possible et offre une alternative. La ferme des Bellis était la dernière exploitation professionnelle de notre commune. C’est pourquoi nous souhaitions qu’un agriculteur puisse s’installer, pour produire du Pélardon, pour lequel il existe une vraie demande des consommateurs, mais aussi pour contribuer à l’entretien de nos plateaux et montagnes et favoriser l’ouverture des paysages. » témoigne M. VERSEILS, maire de la commune.
Aujourd’hui le jeune couple est installé et fourmille de projets de développement. Outre la production de Pélardon commercialisée au marché de Saint Jean du Gard, ils souhaitent poursuivre la culture d’un verger de Châtaigner pour diversifier leur production (farine, confiture de châtaignes).
A moyen terme, une activité de table d’hôtes et de gîtes ruraux viendra élargir leur offre. Frédéric et Amandine ont réalisé leur rêve, prouvant que concilier activité professionnelle, choix de vie et convictions personnelles, c’est encore possible dans les Cévennes.
« Nous cherchions avant tout une activité pour créer du lien social, pour participer à la dynamique d’un territoire. Nous étions aussi engagés dans une démarche de qualité, de vie bien-sûr, mais aussi préoccupés par les questions d’environnement, de paysage, de mise en valeur des potentialités que pouvait nous offrir un domaine agricole. Nous voulions concilier à la fois notre activité professionnelle et nos convictions ». atteste Frédéric.
Après avoir effectué une formation qualifiante agricole (BPREA), Frédéric et Amandine contactent la Safer pour trouver une exploitation correspondant à leur recherche, une zone préservée, des grands espaces et des réelles potentialités de développement. Après de nombreuses visites dans les Cévennes, leur attention est attirée par le secteur de Mialet ou une exploitation caprine est en phase de transmission. Localement, leur projet est accueilli avec enthousiasme.
« Notre commune est partagée entre trois vallées, les terres agricoles dans les zones plates, ont progressivement été affectées à d’autres usages, le foncier fait l’objet de rétention et il faut bien le dire de spéculation. Seul l’élevage ovin ou caprin est encore possible et offre une alternative. La ferme des Bellis était la dernière exploitation professionnelle de notre commune. C’est pourquoi nous souhaitions qu’un agriculteur puisse s’installer, pour produire du Pélardon, pour lequel il existe une vraie demande des consommateurs, mais aussi pour contribuer à l’entretien de nos plateaux et montagnes et favoriser l’ouverture des paysages. » témoigne M. VERSEILS, maire de la commune.
Aujourd’hui le jeune couple est installé et fourmille de projets de développement. Outre la production de Pélardon commercialisée au marché de Saint Jean du Gard, ils souhaitent poursuivre la culture d’un verger de Châtaigner pour diversifier leur production (farine, confiture de châtaignes).
A moyen terme, une activité de table d’hôtes et de gîtes ruraux viendra élargir leur offre. Frédéric et Amandine ont réalisé leur rêve, prouvant que concilier activité professionnelle, choix de vie et convictions personnelles, c’est encore possible dans les Cévennes.